Elodie Parcours DUne Ado En Chaleur - Partie 29
La nuit de la jeune fille est très agitée, et les rêves érotiques se succèdent dans son cerveau confus par toutes les tensions sexuelles de la journée précédente. Ses deux amants secrets du hammam font rapidement place aux rapaces sexuels de son bureau, les ébats tendres et puissants sont substitués par des actes violents et malsains des pervers qui lui malaxent les seins et les fesses, glissent leurs mains puissantes sur ses chairs tendres.
Dans son calvaire, les sensations se font plus précises, plus réelles. Les odeurs presque trop présentes de mouille fraîche, les doigts qui sinsèrent entre les muqueuses glissantes et gorgées de sang de sa chatte en chaleur, un gland volumineux qui simmisce entre ses lèvres gourmandes, les râles de plaisir au dessus de son visage.
Dans une semi conscience, Élodie se force hors de son rêve et réalise que les doigts qui lui donnent tant de plaisir à lui fouiller la vulve gluante sont bien réels. Le cerveau embrumé par le plaisir de se faire branler par deux doigts puissants coulissant en elle, ladolescente se met à aspirer avec gourmandise la queue puissante et tendue entre ses lèvres pulpeuses.
-Oh oui putain ! Vas y petite salope ! Aspire moi la bite !
***
Serge vient de baiser Brigitte, lexcitation et lanticipation de venir se vider les couilles entre les douces lèvres de cette petite salope dElo ont décuplé sa fougue et il a fait jouir sa femme comme jamais. Il la ligotée au pied de son lit, il la baisée, enculée, un nouveau vibro planté dans sa chatte à lui procurer de nouveaux plaisirs à travers la paroi vaginale de sa femme.
Dopé grâce à une petite pilule bleue, il ont baisé avec fougue deux heures durant, et le bougre a lutter par quatre fois pour réprimer une forte envie de jouir dans les entrailles de sa belle.
Lorsque Brigitte sest effondrée de fatigue au pied du lit nuptial, il sest retiré de son cul béant et les doigts serrés à la base de sa bite parcourue de grosses veines saillantes, il sest rendu dans la chambre de la gamine qui dormait à point fermé, le sommeil apparemment troublé de rêves érotiques.
Il a retiré en douceur la couette, libérant les fragrances de chatte en chaleur et de sperme rance. Le jeune corps se tortillant de plaisir dans la pénombre de la chambre éclairée par les lumières de la rue. Quel plaisir de sentir la peau douce et tendre de la jeune fille sous ses doigts puissants.
Élodie avait naturellement écarté les cuisses lorsquil avait approché ses doigts de son pubis ondulant sous ses caresses, et il ne lui avait as fallu longtemps pour écarter ses lèvres vaginales et lui fouiller la chatte complètement éclose et humide de cyprine chaude et gluante.
Maintenant à califourchon, les cuisses puissantes écartées, au-dessus du visage angélique de sa salope de belle fille. Il se branle la queue, le gland au bord des lèvres charnues de ladolescente. Un petit gémissement et un léger souffle de plaisir glissant sur son pénis tendu, Serge perçoit le changement subtil qui sopère sur la gamine en train de sortir de sa torpeur.
Il commence un peu à paniquer mais lorsque Élodie se met à onduler du bassin pour planter sa chatte sur ses doigts et quelle aspire goulûment son gros dard au bord de lexplosion, il presse sa chance et passe sa main libre derrière le crâne de la jeune fille pour planter sa bite sous pression au fond de la bouche gourmande, et dans un râle de plaisir, il lincite à le sucer :
-Oh oui putain ! Vas y petite salope ! Aspire moi la bite !
***
Tout juste consciente de la masse de Serge au dessus de son visage, Élodie se concentre uniquement sur la grosse tige de chair couverte de veines saillantes qui coulisse entre ses lèvres serrées. Dans son délire nymphomaniaque et encore chaude comme une chienne en chaleur, elle laspire avec gourmandise la queue de son beau-père.
Les odeurs chaudes du sexe épais transportent la gamine dans une nouvelle torpeur douce.
Les doigts qui lui massent habilement lintérieur de la vulve secondés par une paume massive appuyant et massant en cercles concentriques son clitoris gorgé de sang et de plaisir, mènent la gamine déjà dans un état second, dans de nouvelle sphères de plaisir intense.
Machinalement, elle att la base épaisse du pénis de Serge et le masse en rythme avec sa fellation son pouce et son index glissant en « O » sur la peau épaisse et lubrifiée de la cyprine et des jus intimes de Brigitte.
-Oui cest ça petite salope ! Branle moi et suce moi bien ! Je vais gicler mes doses de foutre dans ta belle bouche de pute.
-SLURP
. SLURP
. SLURP
.
Élodie lavale en profondeur, le gland de son beau-père taquinant sa glotte détendue à chaque pénétration. Lorsquelle sent la main de Serge appuyer sur larrière de sa nuque pour lui incliner la tête vers larrière, la jeune fille ouvre entièrement sa gorge et sort sa langue pour lavaler en gorge profonde.
Serge plante un troisième doigts dans la vulve en chaleur et accélère le pistonnage de sa belle-fille claquant violemment sa paume sur le pubis au clitoris dégagé. Prenant appui dans la chatte de ladolescente et sagrippant à la nuque tendue, il baise la gorge de ladolescente à grands coups de reins longs et profonds, la base de son gland frôlant avec ses lèvres à chaque sortie de sa queue.
Au bord de lexplosion, le gros quadra plante sa bite au plus profond de la gorge détendue pour mener la jeune fille au bord de l. Il accélère le pilonnage de la chatte gonflée et huileuse autour de ses doigts et se contente de faire coulisser son gland tendu dans la gorge ouverte.
Élodie est à bout de souffle, elle se cambre violemment sur son lit, uniquement guidée par ses instincts animaux.
-HUMPH
. Putain, bouffe ça petite chienne !
Au bord de lexplosion, Serge retire sa verge couverte de glaires et se branle dans des FOUIC FOUIC obscènes. Élodie, aux abois, ouvre grand la bouche, tend la langue entre ses lèvres et accueille avec délectation la première giclée épaisse de sperme chaud et gluant.
Elle tend le visage et aspire le gland de son beau-père, il convulse dans sa bouche lorsque la gamine le branle de sa main douce. Les décharges gonflent les joues juvéniles sous la pression et Élodie a bien du mal à déglutir les doses importantes de foutre qui linonde par vagues chaudes et gluantes.
Alors que Serge se retire lentement de la bouche chaude et douce, la bite couverte de salive et de sperme mélangés, il tape son sexe dégonflant au bord des lèvres charnues comme on tape une cuiller au bord dun saladier, puis il se retire de la chambre sans un mot, ni un regard pour Élodie.
La jeune fille encore à moitié endormie reste entière dans son délire nymphomane et se délecte de la dose de foutre chaud et odorant qui tapisse encore sa langue gourmande de ce nectar si particulier.
Le majeur gauche glissant et coulissant avec volupté entre ses lèvres vaginales, elle se met à sucer son index puis son majeur droit en un simulacre de fellation, allongée nue, les cuisses écartées, sur son lit défait.
Ses doigts coulissent lentement entre ses lèvres et jouent avec le sperme quelle a en bouche avant quelle ne le déglutisse avec gourmandise. Élodie se recroqueville ensuite et se rendort dans son lit défait, la tête pleine de rêves sexuels dans les fragrances de sperme et de cyprine mélangés.
Quelques heures plus tard, la jeune fille se réveille, emmitouflée dans sa couette, les idées un peu embrumées par le réveil inopiné de la nuit.
La jeune fille profite de la jeunesse de la matinée pour se faufiler dans la salle de bain avant le réveil de ses parents. Elle prend une longue douche chaude et décontractante, profitant de ce moment pour se détendre. Les longues minutes passées sous leau bouillante lui permettent de réfléchir à ces derniers jours.
Ses réflexions font remonter les moments de sexe intenses et brutaux qui ont fait naître en elle tellement de nouvelles sensations. Les mains savonneuses glissent sur sa peau douce et toutes ces sensations à fleur de peau font renaître en elle cette douce chaleur gonflant et enflant au creux de son ventre.
Sur le point de succomber à nouveau à toutes ces sensations charnelles et sensuelles, son esprit dérive et la jeune fille ne peut sempêcher de penser : « Et dire que tout ça a démarré à cause de ce maître chanteur ! », à y repenser, son cerveau cartésien essaye de recoller les morceaux dun puzzle complexe.
Alors que sa main droite dérive doucement entre ses cuisses, Élodie commence inconsciemment à caresser son pubis lisse et doux, laissant même ses doigts simmiscer entre ses lèvres vaginales écloses et déjà huileuses. Toutes les pistes quelle a pu identifier pointent inexorablement vers le grand livreur de ses parents.
Le souvenir de la grosse queue tendue contre son cul dans larrière boutique réveille à son tour les sentiments dimpuissance et de soumission dans lesquels ladolescente avait bien failli succomber sans lintervention de Mr. Jean.
« Mais quest-ce qui marrive putain ? » Impuissante à pouvoir se contrôler, Élodie se laisse aller à titiller ses tétons durs et sensibles entre pouce et index alors que deux doigts de sa main libre senfoncent en elle, déclenchant de nouvelles vagues de plaisir.
Elle commence à prendre son pied, rien quà imaginer le jeune livreur bien monté la photographier, la faire chanter, choisir toutes ces tenues sexy et allumeuses, la mettre en scène dans toutes ces situations humiliantes et pourtant si jouissives.
« Putain ! Ressaisit toi ma fille ! » HUN
. Elle tire sur ses tétons bandés et fouille ses muqueuses avec douceur et volupté lorsquun bruit dans le couloir la ramène à la raison :
BOUM BOUM BOUM
-Elooooo ! Bouge ton cul, on va être à la bourre ! Brigitte frappe violemment à la porte de la salle de bain, coupant instantanément lexcitation de la gamine.
***
La pauvre jeune fille en proie à ses démons et incapable dassouvir ses plaisirs matinaux termine sa douche et se retire dans sa chambre sans même saluer Serge quelle croise dans le salon uniquement vêtue de sa serviette de bain.
Une fois seule dans sa chambre, pressée par le temps, et toujours sans nouvelles de son corbeau, la petite brunette sèche ses cheveux quelle laisse pendre libres le long de ses épaules et délaisse ses lunettes au profit de ses lentilles de contact.
Fard à paupières légèrement brunâtre, trait deyeliner avec virgule au coin de lil, blush rosé sur les pommettes et brillant à lèvre rappelant la poudre de ses joues, elle sengonce dans une paire de jean slim blanc en coupe bootcut soulignant le joli galbe de ses cuisses et de son joli cul et se grandit dune parie descarpins noirs à bouts ouverts, perchée sur ses 13cm de talons aiguilles à semelle compensée de 5cm.
Ladolescente parfait son look dun petit croptop blanc immaculé, shoulderless à manches courtes, il se lace entre ses gros seins pointant dexcitation à retrouver Mr. Chevaleraud. Avant de partir, elle se contemple dans son miroir plein pied, et réajuste les froufrous de son haut avant denfiler son cuir blanc et dattr son casque bol.
Dun simple :
-À ce soir !
Élodie att son sac à dos dans lentrée et dévale les escaliers pour retrouver son boss qui lattend déjà, la sportive vrombissante devant la lourde porte de fer forgé.
***
Sur la route Élodie sent lair frais du matin simmiscer entre la base de sa veste et la ceinture de son taille basse, pour glisser subtilement entre ses lobes fessiers. La sensation déclenche de légers frissons le long de lépine dorsale de la gamine qui sent instantanément ses tétons durcir sous le doux coton de son croptop.
Lair frais glisse le long de sa raie culière pour caresser son illeton anal. Cest la première fois que la gamine expérimente cette douce caresse fraîche, ce qui la chauffe sensiblement, alors quelle va bientôt retrouver les quatre pervers de son bureau.
Comme un hasard malheureux, Martin, Danny, Mick et Tony sortent de leur minibus au moment où Élodie descend de la moto et retire son cuir. Leur sourire prédateur excite la jeune fille autant quelle la stresse, elle va devoir passer la journée avec ces animaux qui se régalent apparemment du spectacle de ses gros nichons pointant sous le fin coton blanc.
Et la gamine ne sy est pas trompée, toute la journée, elle a passé son temps à éviter les quatre pervers qui ne manquèrent pas de poser leurs mains sur ses hanches dénudées pour « laider à ranger de lourds classeurs », à glisser leurs paluches inquisitrices le long de ses cuisses gainées dans le jean tendu, à lui peloter le cul lorsquelle transférait les fournitures dune étagère à une autre, à mater ses gros nichons dans le décolleté lacé lorsquelle avait besoin dun coup main sur son ordinateur « récalcitrant ».
Heureusement, Serge a eu besoin deux dans laprès midi, et une demi heure avant la fin de sa journée, Mr. Coulomb vient de charger Élodie de déposer le courrier à la Poste. La gamine ayant laissé ses affaires de moto dans le topcase de Serge, se rend simplement vêtue de blanc au bureau de Poste juste en face du Sauna où elle a tant pris de plaisir la veille.
Lorsquelle ressort quelques quinze minutes plus tard, un détails inhabituel attire son attention de lautre côté de la rue. En effet, le Kangoo de Raphaël se trouve garé juste devant lentrée de service du bâtiment aux bains libertins.
***
Sur le chemin du retour, Élodie ne peut sempêcher de ressasser ce quelle suppose depuis quelques temps déjà. En effet, ce nest pas la première fois quelle repère lutilitaire du livreur non loin doù elle se trouve. « Putain, mais est-ce que cest lui ? » Comment peut-elle confirmer ce quelle suspecte depuis peu ?
De retour chez elle, après cette journée à se faire peloter par les quatre pervers du bureau, ladolescente est bien contente de retrouver le bien-être de lappartement familial. Elle ne peut pourtant pas empêcher de repenser à la présence de Raphaël en livraison dans le sauna.
Pour elle, confirmer lidentité de son maître chanteur consiste déjà à vérifier sil la suit dune manière ou dune autre. Ensuite, il lui faudrait confirmer quil la suit de son propre chef, et pour ça Élodie ne voit pas dautre moyen que de consulter le portable du livreur. La jeune fille entrevoit déjà le cheminement des étapes de son plan.
Ainsi préoccupée par cette petite « enquête » pour enfin identifier son corbeau, ladolescente est moins esclave de ses sens et même si les quatre repris de justice lont bien chauffée toute la journée, elle parvient à garder la tête froide pour mettre son plan en uvre.
***
Le lendemain, cest vêtue dune jolie combinaison en jean slim et au profond décolleté quelle se rend au bureau avec Serge. Perchée sur une fine paire descarpins ouverts à talons, elle se farde dun blush aux douces teintes marron pour rehausser ses pommettes saillantes, surligne son large regard dun trait de mascara noir et agrémente son sourire poupon dun brillant à lèvres rose pailleté, elle sollicite Mr. Coulomb dès son arrivée.
Enfermée dans le bureau du breton, elle use de ses charmes pour convaincre le gros bougon de la libérer une demi-heure plus tôt tous les soirs si elle réduit sa pause déjeuner du même temps.
Dabord réticent, le gros patron lui concède la demi heure si elle soccupe du courrier en échange. La jeune fille nen demandait pas tant, ça lui donne loccasion de repasser devant le sauna et par la même occasion, elle pourra confirmer ses doutes au sujet de Raphaël. Si le livreur la suit vraiment, elle ne le manquera pas.
Cest ainsi que le soir même, après une nouvelle longue journée à supporter les railleries et les attouchements de plus en plus entreprenant du quatuor, Élodie se rend au bureau de Poste voisin dans lespoir de confirmer ses doutes.
Quelle nest pas sa déception lorsque, après quinze longues minutes dattente elle sort enfin à lair libre pour surprendre le jeune livreur. Mais pas de trace du Kangoo ni du grand rouquin. « Eh ben vla lenquêtrice ! » se dit-elle bougonne et contrainte de rentrer à pied.
Alors quelle remonte lavenue toute à ses pensées et quelque peu chauffée par les avances de ses collègues, elle simagine avec ses potes Quentin, Enzo et Matthieu en train de les sucer dans leur repère.
Elle repense à leurs belles bites tendues, la brutalité dEnzo, la douceur de Matthieu et la virilité de Quentin. Leurs queues tendues et gonflées à bloc coulissant entre ses lèvres couvertes de brillant.
Les râles de ses jolis mâles lorsque enfin ils lui délivrent leurs doses de sperme chaud et gluant, couvrant sa langue gourmande, débordant de ses lèvres suaves, dégoulinant le long de sa nuque pour glisser doucement sur ses gros seins et terminer en goutte à goutte sur la pointe de ses tétons rigides.
La jeune fille nen revient pas de sexciter seule de la sorte au milieu de la foule des employer quittant leurs bureaux pour retourner à leurs vies monotones. Elle sent bien la pointe de ses seins durcir sous le tissu tendu de sa combi, et la couture de son entrejambe qui simmisce entre les lèvres suaves et gluantes de sa chatte en chaleur.
Cest alors que toute absorbée à son plaisir naissant, elle le voit, le véhicule utilitaire du livreur nest pas si loin finalement. « HUM ! Je suppose quil ne peut pas toujours livrer au même endroit ! Il doit sûrement brouiller les pistes ! » Ou du moins, cest ce quelle ferait si elle était dans la situation du jeune corbeau.
Profitant de labsence du jeune homme, la belle se glisse dans le véhicule ouvert et sempare du portable que Raphaël a lhabitude de laisser sur la base collée sur le tableau de bord.
Nerveuse à lidée de se faire surprendre, elle narrête pas de jeter des coups dil furtifs en direction du restaurant quelle imagine être le client en livraison. Son propre smartphone en main, elle recherche dans ses historiques, les dates et heures des messages de chantage quelle a reçu, elle parcourt les messages du jeune homme sans succès.
Sil est lauteur des messages, cest dun autre portable quil les a envoyé. « Ou peut-être ? » Et sil les avait effacé ? Se demande la gamine qui parcourt maintenant la bibliothèque dimages. Mais nouvel échec, aucune photo de la brunette, ni dans la librairie, ni dans la corbeille, mis à part quelques photos de lui nu, et de sa grosse bite, « Putain, il est quand même sacrément monté lenculé ! » finit-elle par conclure.
Elle est sur le point dabandonner quand lui vient une idée, lorsquelle aperçoit lapp de livraison : « Et si ce nétait pas lui ? Et si on voulait me faire croire que cest lui ? » En effet, lapp historise toutes les commandes, donc si quelquun voulait piéger Raphaël, Élodie devrait pouvoir retrouver qui a passer les commandes à chaque fois quelle a repéré lutilitaire.
Elle ouvre alors lapplication et vérifie la première date. « Putain cest pas vrai ! » La jeune fille est estomaquée, ! Les mains tremblantes et la gorge sèche, elle veut en avoir le cur net et vérifie la deuxième date : « Nan mais jy crois pas ! »
Nerveuse, elle fait défiler les jours et vérifie les deux dernières dates, incrédule. Elle a tout juste le temps de lire le nom du commanditaire des deux dernières livraison, le cur défaillant et les mains moites, quune voix linterpelle. Elle manque de faire tomber son smartphone en fermant lapp complètement paniquée :
-Eh ben quest ce que tu fous là ma vieille ? Surprise, elle se retourne, le visage mort de honte tant par sa découverte que par le fait de se faire surprendre :
-Euh
Je
En fait, je rentrais du boulot à pied,tu vois ?
-Oui, et
? linterroge til le regard sombre.
-Ben rien, jai mal aux pieds dans mes nouvelles shoes et jai vu ton fourgon
-Et tu tes dit que tallais profiter du larbin de tes vieux, cest ça ? La coupe til avant quelle ne puisse finir sa phrase.
-Mais nan ! Mais cest pas ça ! Répond telle dans une complainte de gamine gâtée.
-Putain tes chiante, jai encore deux courses à faire et je suis pas rentré encore !
-Ouais bon ça va ! Va te faire foutre putain ! Jme débrouillerai toute seule !
Elle éructe sa dernière phrase, sort du véhicule comme une furie et séloigne dun pas décidé, non sans lui faire un doigt. Elle avait besoin de faire exploser sa colère, comment avait-elle pu se laisser manipuler de la sorte ?
Et alors quelle séloigne du jeune livreur, qui ne peut détourner son regard gourmand du joli cul qui se déhanche devant lui, Élodie reconstruit le puzzle de ces derniers jours si éprouvant nerveusement, physiquement, sexuellement et même si elle doit bien savouer avoir grandement profiter des nombreux orgasmes et des situations extrêmes qui lont tant faite jouir, elle narrive toujours pas à se faire à lidée de lidentité de son maître chanteur !
Et pourtant maintenant tout fait sens dans sa tête, seule lui manque une réponse : « Pourquoi ? Mais putain ; Pourquoi ?
. MAMAN ? »
***
De retour à lappartement, et toujours en colère devant la réalisation de lidentité de son corbeau, il lui faut tout de même une preuve irréfutable, ou à défaut, au moins un début dexplication !
Comment est-ce que sa propre mère a pu la faire chanter de la sorte et pourquoi lavoir ainsi exposée à tous ces pervers et à toutes ces situations si dégradantes ? Non pas que la jeune fille nait pas apprécié découvrir une sexualité si intense, mais comment une mère peut-elle livrer sa propre chair à de telles extrêmes ?
Si Élodie veut trouver un début dexplication, cest dans la chambre de sa mère quelle doit chercher. En effet, la jeune fille est tombée sur une série de journaux intimes lété dernier, et elle navait jamais eu le courage de « violer » lintimité de sa propre mère.
Mais après ce quelle vient de découvrir, la jeune brunette a beaucoup moins détat dâme à creuser le passé de Brigitte. Seulement voilà, les journaux ne sont plus où Élodie les avait trouvés.
Après une bonne demi heure passée à fouiller les recoins de la chambre, et quelque peu stressée de se faire surprendre par ses parents, ladolescente soctroie une dernière tentative, et « BINGO ! »
Cest dans le faux plafond du dressing de sa mère quÉlodie trouve la boîte à chaussure contenant les fameux journaux. Prise par le temps, elle parcourt rapidement les plus anciens remontant à lenfance de Brigitte dans sa petite bourgade de province, mais rien dintéressant ne saute aux yeux de ladolescente qui arrive vite fait aux années collèges.
Et là cest le graall ! 12 ans les premiers crush, les premières masturbations, « un baiser sur la bouche avec sa meilleure copine ? » Élodie nen revient pas ! Elle a bien du mal à reconnaître sa mère !
Premiers jeux de « touche pipi » avec les copains, et « NAAANNNN Jy crois pas ! » première fellation avec un « grand de troisième » ! Brigitte décrit précisément comment le « grand » lui a montré comment on embrasse avec le langue, et à quoi dautre pouvait lui servir ses lèvres et sa langue.
Élodie découvre au fil des lignes et des pages manuscrites comment sa mère à commencer de lécher la tige bandée et frétillante de Gaëtan, elle y détaille même le goût de pipi et les vas et vients saccadés du jeune homme qui finit par éjaculer « par accident » dans la bouche de lado prépubert.
« Pas étonnant quelle ne veuille plus avaler de foutre ! » Se dit la petite brunette complètement excitée par ce quelle découvre de sa propre mère. La manière dont la toute jeune Brigitte décrit le goût rance et la viscosité fait contraste avec le nectar quÉlodie a appris à apprécier ces derniers jours.
Mais apparemment ça na pas freiné les ardeurs de sa mère qui apparemment a rapidement apprécié donner du plaisir à ses petits camarades qui lauraient baptisée à lépoque la « suceuse du collège » !
« Eh ben ma salope ! » Se dit Élodie qui nen revient pas des découvertes quelle déterre. Toujours aux aguets du retour de ses parents, elle poursuit tout de même sa lecture et passé les quatre années au collège, cest apparemment au lycée que sa mère sest éclatée puisquelle serait alors passée au rang de « salope du bahut » à se faire sauter par les élèves, les étudiants en soirée, et même certains profs pour obtenir de bonne appréciations.
Cest à ce moment quÉlodie entend la clé dans le verrou de la porte dentrée. « Cest fou ce quon entend comme bruit lorsquon est en stress ! » conclue ladolescente qui balance les journaux dans la boîte en carton quelle sempresse de remettre à sa place avant de déguerpir dans la salle de bain sans demander son reste.
Encore toute chamboulée par ses découvertes, ladolescente comprend un peu mieux létat desprit de sa mère, qui apparemment est tombée enceinte durant cette période de forte activité sexuelle. À côté delle, sa fille devait faire pâle figure à cette chaudasse de « salope du bahut » !
Est-ce que sa propre mère était désespérée au point de monter ce stratagème bizarre pour lui faire découvrir les véritables plaisir de la chair ? Si elle meurt denvie de poser la question à la première intéressée, Élodie nen fera jamais rien !
Mais dune certaine manière, la brunette qui se dénude maintenant pour entrer sous une douche chaude et satisfaire un petit plaisir solitaire bien mérité après lascenseur émotionnel dont elle a été victime toute cette journée, est bien contente de pouvoir enfin comprendre ce qui lui arrive depuis quelques jours.
Elle est même soulagée dune certaine manière de constater que sa mère soit prête à de telle extrême pour libérer la jeune fille fille prisonnière du carcan féministe qui bride la plupart des filles de sa génération. Si en plus elle peut retourner la pareille à sa propre mère en permettant à son vicelard de mari de venir se vider les couilles entre ses lèvres gourmandes plutôt que celle dune Brigitte récalcitrante !
Forte de ce nouveau sentiment de se rendre utile à celle qui la élevée seule durant toutes ces années avant de tomber sur un étalon de la catégorie dun Serge vicieux et bien monté, ladolescente se laisse doucement aller à la torpeur dune douce et longue masturbation la peau ruisselante sous leau bouillante dune bonne douche réparatrice.
Ce soir là, Élodie se sera faite jouir trois fois dans la douce chaleur de son foyer aimant et sans abnégation. Acceptant enfin qui elle est, et remerciant sa mère, discrètement et sans jamais le lui avouer, de lavoir « contrainte » à accepter son côté petite salope en chaleur.
Lorsquelle se réveille le lendemain après avoir encore servi de réservoir à foutre pour son beau père, Élodie sélectionne une toute nouvelle tenue dans le seul but de finalement séduire le livreur bien monté de ses parents.
Cest donc perchée sur ses Nike à talons de 8cm à plateforme noires et violettes quEodie fait une apparition fracassante dans le salon où petit déjeune ses parents. Elle est vêtue dun micro short denim taille basse maintenu sur les hanches par un lacet de soie laissant apparaître sa peau laiteuse et dénuée de string ou autre culotte.
Quant au haut, cest dun simple bandeau de cuir fermé sur lavant par une fermeture éclair du plus joli effet, quelle recouvre sa poitrine généreuse. Les reins cambré par la hauteur de ses talons, elle arbore fièrement ses atouts et remercie une Brigitte, surprise mais pas peu fière davoir é, pour la deuxième fois, dune si jolie bombasse.
Dun simple sourire complice, comme si elle savait que sa fille a finalement découvert le pot aux roses de sa petite machination, Brigitte observe le doux visage poupon de sa fille mis en valeur par des sourcils parfaitement dessiné, soulignés par un fard dun doux marron estompé magnifiquement sur le haut de la paupière et joliment terminé dun trait de crayon un peu plus foncé.
Les pommettes de sa fille ressortent dans un magnifique blush et mettent bien en valeur ses lèvres pulpeuses parfaitement dessinées par un doux rose à lèvres aux contours délicatement surlignés au crayon rose.
-Eh ben ma fille, quelle transformation !
-Merci Mman ! Par contre mattendez pas ce soir, je vais sûrement sortir ! Conclue telle en sortant de lappartement dans son cuir blanc et casque à la main pour rejoindre Mr. Chevaleraud.
Toute excitée de ce quelle a prévu pour sa journée, cette dernière naurait pas pu mieux commencer si elle navait pas rencontrer, pas vraiment par hasard, un Raphaël surpris et estomaqué par la beauté de la gamine.
Élodie lui fait une bise sur la joue avant de conclure :
-Encore désolée pour hier ! Et elle le laisse en plan avant de rejoindre son chauffeur et de chevauchée sa monture son joli cul parfaitement moulé par le mini short tendu sur ses formes.
Car cest bien pour Raphaël et sa grosse queue que la gamine sest ainsi parée et prend le risque de se faire peloter comme jamais par les quatre gros porcs du bureau, mais elle ne veut pas lui dévoiler la surprise quelle lui réserve pour la fin de journée.
Comme elle sy attendait, les quatre compères ne manquent pas de lui faire payer une tenue aussi provocante, mais la jeune fille parvient tout de même à leur échapper à plusieurs reprises, non sans quelques incidents ; entre les mains aux fesses, les chutes inopinées et les rattrapages de justesse en sagrippant à ses gros nichons et en tirant par inadvertance sur la légère fermeture éclair.
Mais cest lorsquils sy sont mis à trois pour la piéger que tout à bien failli dér. Cest en effet après avoir obtenu de sa mère quelle accepte de libérer Raphaël un peu plus tôt quÉlodie sest retrouvée dans le besoin dun coup de main informatique sur la gestion des stocks sous la responsabilité de Tony.
Le trentenaire sétait alors accroupi à sa droite lorsque Martin et Dany nont rien trouvé de mieux que de lui tirer son téléphone quelle a eut le malheur de laisser sur son bureau. Les deux salops lont alors inciter à venir le récupérer elle même en se le lançant mutuellement. Piquée au vif, et de peur de se le faire casser avant davoir pu inviter Raphaël à la rejoindre.
Élodie sétait levée en trombe sans remarquer que la main de Tony avait glisser de sa jambe dénudée pour attr le bout de la boucle en soie. Le ruban sétait alors instantanément fait la malle, glissant sans contrainte dans les anneaux rivetés.
Dans son élan et les bras tendus en avant pour récupérer son portable, ladolescente avait tout juste senti les deux pans en jean souvrir sur sa hanche dénudée. Lorsquelle sétait rendu compte quelle perdait son short il était déjà trop tard, le lourd tissu de coton avait déjà glissé sur ses cuisses fraîchement épilées.
À la vue de ce joli cul et de son pubis lisse et imberbe, les trois hommes se sont immobilisés instantanément. La gamine avait tout de même pu rattr les deux pans quelle plaquait de son mieux :
-Putain mais bande de connards ! Vous zavez pas fini avec vos conneries merde !
Mais non en effet, ils nen avaient apparemment pas fini, puisque Tony la toisait de son regard prédateur, secouant le ruban blanc sous le nez de la gamine en mauvaise posture.
-Eh ben non ma petite salope ! On est loin den avoir fini avec une petite allumeuse comme toi !
Et ses deux acolytes den rajouter, la main sur lentrejambe :
-Eh oui ma belle ! Va falloir passer à la vitesse supérieure !
-Cest bien beau de nous allumer! Maintenant faut assumer ! Conclue Dany qui dans un sourire carnassier sest approcher de la jeune fille et commence à faire glisser le zip de la fermeture fermant le bandeau de cuir et laissant déjà entrevoir les formes arrondies de ses gros nichons.
La jeune fille en mauvaise posture fût sauver de justesse par larrivée inopinée de Serge et de Mick qui avait vu leur rendez vous de laprès midi annulé à la dernière minute.
-Eh vous faites quoi là les gars ? Avait hurler Serge en entrant dans le bureau.
-Euh
. Nan mais cest rien patron, on samuse avec la petite ! Hein Elo ? Sétait défendu Tony pris la main dans le sac.
Gênée et perturbée, mais pourtant un peu excitée, de sêtre faite surprendre de la sorte par son mateur de voisin, Élodie avait attr ruban et smartphone avant de filer se réfugier dans les toilettes pour se rhabiller. Mais elle avait eût le temps dentendre Serge leur passer un véritable savon.
Rassurée par lattitude de son patron, ladolescente fût contente de le retrouver. Il lattendait, protecteur, à la sortie des toilettes pour tenter dexcuser lattitude de ses hommes, et avait fini par linviter à rentrer chez elle.
-Merci Serge, mais vous savez cétait pas si grave ! Avait elle ajouté avant de prendre congé .
-Bon OK, si tu le dis ! Mais fait tout de même attention, ce sont pas des tendres !
***
Cest donc une jeune Élodie toute tremblante et un goût métallique au fond de la gorge à cause de la soudaine poussée dadrénaline qui déambule maintenant, qui déambule dans la rue, lesprit préoccupé mais un peu plus léger à lidée de retrouver Raphaël devant le sauna libertin.
« Eh ben ma vieille, y sen est fallu de peu ! » Elle tente de se rassurer et de prendre du recul par rapport à la situation à laquelle elle vient juste déchapper, mais ne peut pourtant pas sempêcher de fantasmer sur ce que ces trois gaillards auraient pu lui faire.
Simaginant aux prises avec les trio infernal, elle sentirait presque leurs mains sur sa peau, son ventre, ses seins, ses
et il nen faut pas plus à la jeune fille pour sentir une nouvelle bouffée de chaleur envahir son corps.
« Putain mais je vais vraiment pas bien moi ! » ça cest ce quelle aurait pensé encore hier, mais aujourdhui, elle se contente dun sourire gourmand à lidée de soffrir à ces trois voir quatre brutes. Mais à cet instant, cest pour une toute autre raison que son sourire sillumine, elle aperçoit le grand rouquin qui lattend devant la brasserie qui fait langle de la rue du sauna libertin.
Lorsquil laperçoit approcher, perchée sur ces petits talons, et la poitrine à peine couverte du bandeau de cuir, il ne peut réprimer un sourire carnassier :
-Eh ben, quest ce qui est arrivé à ton cuir ? Il a rétréci ou quoi ?
Un peu surprise, Élodie a oublié que Raph ne lavait pas encore vue ainsi fagotée, elle était « équipée » moto lorsquelle la croisé ce matin. Elle jette un coup dil à sa poitrine par réflexe avant dajouter :
-Ah oui, ça te plaît ?
-Ouais bon tu sais déjà que jte trouve bonne ! Si tu mdisais ce que tu veux ? Déjà que jperds des courses à cause de toi !
Dabord surprise par la remarque, cest avec une étincelle de colère dans les yeux, que Élodie a un mouvement de recul :
-Eh mais ça va ! Jmétais juste dit que ça te frait plaisir que je toffre un verre !
La jeune fille piquée au vif par la remarque se bat de toutes ses forces pour ne pas lui avouer quelle sest faite belle pour lui. Elle a même bravé une partie du quatuor infernal pour se présenter à lui dans ses plus beaux atours. Loin de se défiler, elle approche du jeune homme un regard profond et sensuel ancré dans les grands yeux verts du livreur.
-Bon allez gros nigaud, est ce quun bisou te mettrait de meilleur humeur ?
Elle passe ses bras autour de la nuque du jeune homme et lui colle un gros SMACK sur la joue. En déséquilibre sur la pointe des pieds, elle écrase sa grosse poitrine sur le torse du livreur et glisse ses doigts dans ses doux cheveux couleur de feu.
Décollant son visage de celui du jeune livreur afin de noyer son regard dans les grands yeux émeraudes du rouquin avant de linviter :
-Alors ? Est ce quun verre avec la fille de tes patrons préférée te ferait oublier ce « manque à gagner » ?
Elle lui sourit glisse intentionnellement ses doigts fins le longs des bras nu de son rouquin, afin de maintenir le contact avec le jeune homme. Il éclate de rire et lui claque le cul, avant de conclure :
-Tas dla chance davoir un beau cul ! Rien que ça
. HUM
. Il ne cache même pas le regard gourmand quil jette sur le magnifique cul prisonnier du micro denim.
Les deux adolescents entrent dans le troquets, et on peut dire que larrivée de la jeune bombasse ne passe pas inaperçue entre les ouvriers qui peuvent se rincer lil à lentrée de la jeune bombasse.
Jouant les fausse pudiques, Élodie se cramponne au bras de son partenaire dun soir et colle son corps presque dénudé au jeune corps viril. Ils sassoient dans un coin du bar et commande leurs boissons respectives.
Élodie joue de tous ses charmes durant la plus longue conversation quelle nait jamais eue avec le jeune homme. Elle y apprend quil est lui aussi passionné de moto et quil passe ses week-end sur les circuits, et lorsquil parle avec passion de son hobby, elle plonge intentionnellement son regard profond dans les grands yeux verts du jeune homme tout en lui caressant doucement lavant bras.
Elle samuse à séduire ce grand gaillard par un doux jeu dintérêt à ses histoires souligné de grands sourires charmeurs et de doux contacts de ses doigts fins sur les avant-bras aux muscles noueux et puissants du livreur quelle laisse doucement glisser sur le dos de sa main.
Ladolescente samuse à observer les réactions du jeune homme à ses douces attention. Elle ne manque pas de noter la chair de poule qui pigmente la peau blanchâtre du rouquin lorsquelle lui caresse le dos de la main en se mordillant la lèvre inférieure, en le tentant de son regard de braise.
Mais elle taquine le livreur en se retirant subitement, simulant une fausse pudeur en rougissant, lindex taquin entre ses lèvres pulpeuses. Elle le laisse parler encore un peu puis linvite finalement en lui enserrant la main :
-Et si on décollait ? Jai eu une grosse journée et un petit jacuzzi me ferait du bien !
Il nen faut guère plus à Raphaël qui lui att la main pour se diriger vers la sortie du troquet en réglant lui-même la note. « Et voilà comment on se fait inviter ! » se félicite secrètement la coquine.
***
Lorsque les deux adolescents sortent de la brasserie, Élodie entraîne Raphaël derrière elle et prend la direction du sauna dans lequel elle a pris tant de plaisir il y a juste quelques jours.
Comme beaucoup de jeunes, persuadée davoir la priorité, elle se lance sur la chaussée sans même regarder, quand soudain Raphaël lattire violemment en arrière :
TUUUUUUUUUUT Nan mais ça va pas bande de malades !
La jeune fille est tétanisée, le cur pulsant violemment jusque dans ses tempes. Hypnotisée par lexpérience davoir tout juste échappé à un accident, sa vision se tunnelise et elle ne voit plus que le sauna et le plaisir dont elle compte bien se délecter.
Cest ainsi, quavec un peu plus de précautions, ils traversent lavenue ombragée par les grands peupliers filtrant la lumière du jour descendant. Aucun des deux ne remarque larrivée de Enzo, Quentin et Matthieu qui, sortant tout juste dune nouvelle journée harassante, sont attiré parle bruit soudain et se réjouissent de la vision sexy de leur copine sengouffrant dans le bain libertin.
Sans se doutée que le trio vient de la repérer, Elo paye lentrée et récupère la serviette que lui tend le gros gérant de létablissement. Sans trop sattarder dans lentrée quelle trouve toujours aussi glauque, Élodie passe le tourniquet, suivie de Raphaël.
Bien décidée à passer du bon temps avec le jeune livreur, elle na même pas remarqué que Raph a une serviette de bain beaucoup plus épaisse que la sienne. Ce nest que lorsquelle sort du vestiaire des filles, le corps tout juste couvert par le rectangle de coton, quelle saperçoit que le rouquin est confortablement enveloppé dans sa grande serviette blanche.
-HA HA HA Eh ben ma vieille, ils sont radins sur les serviettes ou quoi ?
Raph éclate de rire en tirant doucement sur un coin de la serviette dÉlodie. La gamine est obligée de la maintenir plaquée sur sa poitrine pour ne pas quelle se fasse la malle :
-EH mais vas y ! Te gêne pas surtout !
Avec la fausse pudeur dont elle apprend tout juste à se servir, Élodie croise timidement les jambes, et dune main bloquant la serviette sur ses gros seins, elle prend la main du rouquin est ils se dirigent tous deux dans la salle rose.
Dès lentrée dans le hammam ils sont submergés par la lourde chaleur humide et enveloppés dans lambiance cotonneuse de la vapeur en suspension. Leurs corps se couvrent presque instantanément dune lourde sueur brillante. Les boucle de la gamine se plaque sur son front perlant de transpiration et les paumes enlacées deviennent glissantes.
Élodie imagine déjà la tige rigide de la grosse queue glisser dans le creux de sa paume gluante. « HUM calme toi ma fille ! Tas le temps, il va pas filer maintenant ! »
***
Profitant de lopacité et de lintimité fournie par la vapeur deau dense, Élodie passe sa main gauche sur le dos humide de Raphaël, elle le sent frissonner malgré la lourde chaleur ambiante.
Un sourire gourmand se dessine instinctivement sur ses lèvres, il a envie delle autant quelle veut de lui. Elle se bat de toute ses forces pour ne pas aller trop loin, trop vite, elle veut apprécier cette intimité le plus longtemps, le plus lentement possible.
-Vient avec moi ! Lui dit elle en se dirigeant avec lui vers le bassin du jacuzzi au centre de la pièce rose.
En appui contre le rebord du bain à remous, elle se tourne face à Raph et lui att les mains pour les plaquer sur le nud tendu de sa propre mini serviette :
-Déshabille moi !
Le grand rouquin att le nud très tendu au dessus de la poitrine de la gamine. Élodie passe sa main droite dans les cheveux de feux, collés par lhumidité et la sueur. Elle le laisse faire, embrasse le haut de son torse, caresse son bras droit de sa main libre.
Alors quelle sent le lourd coton glisser le long de son corps et terminer sa course sur ses pieds, elle glisse sa main gauche le long des hanches musclées du livreur et laisse courir ses doigts le long du morceau de coton tendu sur la bassin jusquaux poils pubien reliant son nombril à la base de sa verge.
La main droite de la jeune fille caresse, griffe doucement le torse légèrement poilu, elle en dessine les contours pectoraux musclés, embrasse de ses lèvres pulpeuses le haut des épaules, et laisse descendre sa main droite sur la bosse qui tend maintenant le carré de coton couvrant encore lintimité du rouquin.
Elle joue avec le jeune homme qui voit sa respiration saccélérer au rythme de ses propres mouvements cardiaques. La chaleur du souffle de la gamine dans sa nuque le rend dingue, il veut la posséder, lui agripper les seins, lui bouffer la chatte, la prendre brutalement par tous les trous. Mais la gamine sait y faire, elle le chauffe, lexcite, le comble, le dompte.
« Tu perds rien pour attendre petite allumeuse ! Ce soir tu es à moi ! »
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Ecrit en collaboration avec le génialissime auteur pervers HDS : Silveradd
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